Black Clover, une des grosses séries du moment du Weekly Shônen Jump, venue donner un vent de fraîcheur après la fin de Bleach, Naruto, Toriko… Sans passer à côté des essentiels du shônen manga, le titre fait part malgré tout d’un ton très positif et se hisse au rang des mangas que l’on aime bien lire pour se détendre et surtout pas se prendre la tête.
Des affrontements à base de pouvoirs magiques, explosions et autres artifices, avec un vieux fleuriste et une jeune fille qui semble sortir de nulle part. Voici le tout début de Alice & Zôroku et il nous faudra creuser un peu plus pour élucider quelques unes des interrogations qui nous assaillent. Qui est qui, qui fait quoi, comment et surtout pourquoi ? Hmm, bonnes questions.
Rencontre fortuite entre deux collégiens, Tsuki ga Kirei peint avec justesse et délicatesse les sentiments adolescents que tout le monde traverse à cette tendre époque. Mais est-elle vraiment tendre ? Entre la puberté qui change nos corps et les affres d’une vie étudiante en pleine métamorphose elle aussi en nous faisant entrer dans une ère plus sérieuse, rien n’est de tout repos.
Retour du printemps et avec son arrivée viendront aussi de nouvelles séries. Mais avant de s’y intéresser il ne faudrait pas oublier une comédie de l’hiver que l’on laisse derrière nous et qui a su nous donner du baume au cœur quand le froid faisait rage. Routine lycéenne au revoir, dans Gabriel DropOut le quotidien a une saveur d’ailleurs, loin, vraiment très très loin.
Qui n’aime pas voir des séries de fantasy avec des dragons qui anéantissent des villes d’un souffle, majestueux et redoutables rois des cieux, des terres comme des mers ? Qui n’aime pas aller prendre un verre au café du coin, servi par une jolie jeune fille en jupe à froufrous ? Eh pourquoi pas les deux en même temps, dans ce cas, ça peut être sympa, non ? Quoi, comment ça je suis fou ? Mais non, j’ai juste regardé Miss Kobayashi’s Dragon Maid. Allez, on reprend depuis le début !
Il est rare de voir une série qui reste scotchée dans les esprits pour son unicité thématique et le traitement spécial que reçoit cette dernière. Les thèmes de la compétition sportive, de l’amitié ou de l’amour sont très fréquents, mais lorsque ceux-ci sont chamboulés dans l’univers du patinage artistique, et ce sous l’égide d’une équipe d’animateurs de talent, on en ressort aussi lessivés que les protagonistes mais QUE C'ÉTAIT BON !
Cet article est pour ceux qui ont vibré et perforé les cieux devant Tengen Toppa Gurren Lagann (TTGL), hurlé devant Inferno Cop, ri et pleuré devant Kill la Kill (KLK) et enfin pris leur pied en découvrant le projet Little Witch Academia (LWA). Car avant de parler de Luluco il faut présenter ses créateurs et ceux-ci ont participé aux animés sus-cités et l’âme de l’actuel studio Trigger a été le carburant à la réalisation de ce projet.
Si je vous parle d’androïdes dans une société futuriste, d’équipes de collecte des androïdes en fin de vie qui échappent au contrôle de multinationales, de liens sentimentaux entre humains et androïdes, et de courses poursuites dans des ruelles… eh bien non, ce n’est pas Blade Runner mais Plastic Memories, son penchant animé. Un peu moins sombre, mais tout aussi intéressant lorsqu’il s’agit de revisiter les thématiques de l’intelligence artificielle, de l’éthique bio/robotique et de causer un poil philosophie.
Ça fait toujours l’effet d’une petite bombe dans le monde de l’animation quand Bones annonce une nouvelle série. Alors quand ce même studio annonce qu’il se chargera de la seconde série de l’auteur ONE : Mob Psycho 100, nous étions tous alertes. Et finalement le premier épisode est diffusé et nous avions jusqu'alors adopté la bonne attitude car c’était bien le studio Bones qu’on affectionne qui était au rendez-vous.
Le keijo est un sport exclusivement féminin inventé par l’auteur qui consiste en des affrontements entre joueuses en maillots de bain juchées sur des plateformes flottantes dans des piscines ou autres surfaces aquatiques. Une sorte de combat de sumo sauf que les seules parties du corps autorisées à toucher l’adversaire sont le fessier et la poitrine. OUI.
Les séries courtes sur Crunchyroll, c’est une longue histoire d’amour. Entre les séries d’horreur et les comédies, nous avons déjà fait une brève présentation, mais il reste tout un pan à découvrir. Et si on s’attaquait à l’inattaquable ? Les séries d’action mais kawaii et d’humour mais survitaminées. Du gros melting pot difficile à étiqueter et c’est tant mieux, parce que pourquoi pas après tout !
Imaginez le style graphique d’un trip sous acide, la tension d’un match de Coupe du Monde (de ce que vous voulez), la narration d’un drame social, l’humour d’une série populaire, de la sueur, du talent et beaucoup, BEAUCOUP, de travail. Voilà, vous avez une mince idée de Ping Pong, une série comme on voit très peu.
Qui n’a jamais rêvé de joindre l’utile à l’agréable ? De travailler dans un secteur professionnel pour lequel on se passionne, que ce soit un sport, une activité plus solitaire ou encore un talent créatif, on a tous au moins une chose qui nous fait vibrer et dont on aimerait faire un métier.
C’est l’été, il fait chaud, on a tous besoin d’un peu de fraîcheur donc on regarde des animés avec comme protagonistes des jeunes filles qui dégagent une certaine vague d’innocence, avec de l’humour mignon et des pouvoirs de magical girls, et des petites culottes, et des scènes de baisers érotiques dans les bains publi… wowowo, c’est quoi ce machin ?!
À ma gauche, une série racontant les vies quotidiennes de trois lycéennes préoccupées par les changements que la puberté produit sur leurs corps ; à ma droite, une série sur trois intelligences artificielles se matérialisant pour venir en aide à ceux qui les appellent via une application mobile ; au centre, le même format de huit minutes, le même objectif de divertissement et… différents moyens d’y arriver. Analyse de ces deux séries estampillées Ultra Super Anime Time, un créneau de diffusion d’animés au format court occupé par par une coalition de studios du nom d’Ultra Super Pictures.